A l’inverse du peintre qui crée à partir de la toile blanche, Louise Caroline s’approprie les vestiges d’un passé industriel dont la texture, la trame, les couleurs, les lignes et les plis, soumis à
Louise Caroline cherche le geste où tout commence. Elle lave le tissu de la gangue qui masque sa beauté à peine visible au regard ordinaire, et martèle sa toile jusqu'à obtenir dans la matière l'appa
D’abord fibres naturelles, puis œuvres manufacturées, passées plusieurs fois par la main de l’homme (tissage), le corps de l’homme (linge), puis rebuts soumis à la brutalité de la machine (rotati